Le lobby bancaire aurait contourné 33 milliards d’euros d’impôts en influençant la loi
Le 19 juin 2025, une inspection à Bercy dévoile que la Fédération Bancaire Française a obtenu la modification d’un décret clé sur l’évasion fiscale. En jeu : 33 milliards d’euros perdus pour l’État. Une affaire qui contraste violemment avec les critiques infondées adressées à Bitcoin.
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33 milliards d'euros auraient été détournés par les banques françaises
En France, les médias et certains responsables politiques s’acharnent à présenter Bitcoin comme un outil de blanchiment d’argent et de financement du crime. Pourtant, aucune étude sérieuse ne valide ces accusations. Selon Chainalysis, seules 0,14 % des transactions en cryptomonnaies sont liées à des activités illicites.
La traçabilité des blockchains en fait d’ailleurs de très mauvais outils pour dissimuler des flux financiers. À l’inverse, les révélations de fraudes et de montages illégaux dans le secteur bancaire ne cesse de faire la une des journaux.
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Il y a 10 jours, le 19 juin 2025, une inspection surprise menée par le rapporteur général du budget du Sénat, Jean-François Husson, a révélé un scandale : le décret d’application censé fermer la fraude fiscale « CumCum » a été réécrit à la demande directe de la Fédération Bancaire Française (FBF).

Extrait du communiqué de presse du Sénat
Tout commence en 2018, lorsque le scandale CumCum éclate. Ce montage permet à des investisseurs étrangers d’éviter l’imposition sur les dividendes grâce à des opérations d’arbitrage réalisées avec la complicité de grandes banques françaises.
En réponse, plusieurs dispositifs anti-fraude sont votés par le Parlement, puis renforcés dans la loi de finances 2025 avec un amendement adopté à l’unanimité.
Cependant, au mois d'avril 2025, un nouveau texte est discrètement publié par Bercy, introduisant des exceptions qui vident la loi de sa substance. Ce décret est introduit malgré l’opposition du Parlement, des directions du Trésor et de la DGFiP, et en dépit de 2 courriers d’alerte envoyés au ministre de l’Économie.
Le 19 juin, Husson exerce son droit de contrôle sur pièces à Bercy. Il y découvre que le décret a été rédigé sous l’influence directe de la FBF et confirme une perte fiscale estimée à 33 milliards d’euros entre 2000 et 2020.
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Bitcoin représente une alternative de plus en plus évidente face aux dérives du système financier traditionnel, illustrées par des scandales comme l'affaire CumCum.
Contrairement aux banques, Bitcoin fonctionne sans intermédiaire : il repose sur un protocole ouvert, vérifiable par tous, et dont les règles sont immuables. Aucun lobby ni gouvernement ne peut modifier ses fondements en coulisses ni contourner ses règles pour en tirer profit au dépens des autres.
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Là où les institutions financières peuvent influer sur les lois ou bénéficier de décrets discrètement modifiés, Bitcoin garantit l'intégrité de ses utilisateurs par sa décentralisation.
Dans un contexte où la confiance envers les régulateurs s’effrite, Bitcoin offre un refuge technologique et monétaire, fondé sur des principes d’équité, de prévisibilité et d’indépendance face aux intérêts corporatistes.
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