Request (REQ), une plateforme pour payer ses factures en cryptomonnaies
Qu'est-ce que Request ? L'application Request Invoicing L'écosystème de Request À quoi sert le token REQ ? Équipe et partenaires Comment acheter du REQ ? Comment stocker ses REQ ? Notes et avis sur Request Qu'est-ce que Request ? Le protocole Request a pour objectif de mettre en place un système financier mondial et décentralisé où […]
Cet article vous est présenté en collaboration commerciale avec Request (en savoir plus)
- Qu'est-ce que Request ?
- L'application Request Invoicing
- L'écosystème de Request
- À quoi sert le token REQ ?
- Équipe et partenaires
- Comment acheter du REQ ?
- Comment stocker ses REQ ?
- Notes et avis sur Request
Qu'est-ce que Request ?
Le protocole Request a pour objectif de mettre en place un système financier mondial et décentralisé où les personnes et les organisations ont le plein contrôle de leurs données et de leurs choix financiers. Basé sur la blockchain Ethereum et porté par la Request Network Foundation, ce projet vise à offrir une plateforme complète autour du paiement en ligne, le tout de manière automatisée.
Logo du Request (REQ), par Cryptoast
Le réseau Request permet d'effectuer n'importe quel type de transactions (facture, prêt, salaire, don, etc.) avec de la monnaie fiat et des cryptomonnaies, dans toutes les langues et surtout législations du monde. Grâce à l'utilisation de la technologie blockchain, Request agit comme une sorte de registre infalsifiable et transparent, que tout le monde peut consulter.
Avec Request, il est donc possible de payer et d'être payé en cryptomonnaies en envoyant des factures conformes en tant que freelance ou entreprise. Request prend en charge de nombreuses cryptomonnaies comme l'Ether (ETH), le Bitcoin (BTC) et les stablecoins DAI et USDC. Request étant basé sur Ethereum, tous les tokens de cette blockchain sont également acceptés nativement.
L'avantage de Request en comparaison à des plateformes plus classiques, est qu'il propose des paiements moins coûteux, plus sécurisés et totalement transparents. Request introduit notamment le concept de « Smart Invoice », ou facture intelligente.
Sous ce concept novateur se cache une facture capable de s'adapter au fil du temps et qui se met à jour automatiquement sous certaines conditions prédéfinies par l'émetteur. Par exemple, une entreprise peut indiquer sur la facture envoyée à son client une date limite de paiement à 15 jours après la réception du produit. Si la facture n’a pas été payée dans les temps, des frais de retard s’appliquent alors automatiquement sur la « request » (ou demande de paiement).
Avec ce mécanisme, l'entreprise en question ne doit plus envoyer une nouvelle facture à son client, puisque la facture d'origine s'actualise automatiquement en fonction de ses paramètres sous-jacents. Et ce n'est pas tout, avec Request, une entreprise peut ajouter pléthores d’options à une facture. À titre d’exemple, une option de dépôt fiduciaire peut être ajoutée, afin de bloquer les fonds du client jusqu’à ce que le bien lui soit délivré.
Request étant en accord avec toutes les législations et les règles commerciales en vigueur à travers le monde, il est directement possible d'intégrer à une facture un système de taxes tel que la TVA ou encore les impôts.
Un système de réputation est implémenté à Request afin d'identifier les mauvais payeurs et le phishing. Par exemple, un utilisateur est en mesure de savoir si une entreprise essaie de faire du phishing et si d'autres utilisateurs ont déjà rejeté ses paiements. À l'inverse, un utilisateur qui ne paie pas ses factures à temps sera également pénalisé via sa réputation.
À l'avenir, ce système pourrait proposer aux membres ayant une excellente réputation des réductions de coûts ou l'accès à des extensions personnalisées. Une entreprise à bonne réputation pourrait également obtenir des crédits ou autres financements plus facilement auprès d’établissements financiers.
Autre avantage de Request, les factures sont directement enregistrées sur la blockchain. Elles sont donc infalsifiables et accessibles par toute partie possédant les droits. Cela évite la présence de duplicata de factures et diminue fortement les potentielles erreurs ainsi que les tentatives de fraudes.
L'application Request Invoicing
Produit phare du protocole, Request Invoicing permet à des particuliers et des entreprises de manager leurs flux financiers, en particulier pour émettre et payer des factures en cryptomonnaies. Cette application est d'ores et déjà utilisée par un grand nombre de protocoles et d'entreprises de premier plan de l'industrie des cryptomonnaies.
Request compte notamment Aave, Arianee, Paraswap, MakerDao, Gnosis, Ocean Foundation et Near Protocol parmi ses utilisateurs professionnels.
Prenons l'exemple d'un développeur Web freelance qui souhaite émettre une facture en cryptomonnaies pour l'un de ses clients. Il se rend sur le dashboard de Request Invoice et renseigne tout simplement les informations relatives à son client. Il précise ensuite la cryptomonnaie avec laquelle il souhaite être payé, puis le montant correspondant.
Ensuite, l'utilisateur devra bien évidemment indiquer l'adresse de son portefeuille pour qu'il puisse recevoir les fonds. L'utilisation de cet outil est relativement simple et accessible à tous, en plus de supporter les paiements classiques via virements bancaires :
Choix de la cryptomonnaie sur Request Invoicing
L'écosystème de Request
Tout le monde peut créer une demande de paiement sur la plateforme Request. La demande peut être détectée par le destinataire surveillant le réseau via une application ou encore un portefeuille. Une fois la demande validée par le destinataire, elle peut être payée en un seul clic. La demande est traitée, complétée, puis le réseau est mis à jour en temps réel.
Comme nous l'avons vu précédemment, de nombreuses « options » peuvent être ajoutées comme des taxes, des conditions de paiement, et bien plus encore.
Principe de fonctionnement de Request
Imaginons un futur où les objets connectés sont pléthore. Une voiture autonome se connecte à un garage intelligent pour l'achat d'un nouveau pneu. Après une négociation par algorithme, un paiement à la livraison est négocié en Bitcoin (BTC). Les fonds sont alors bloqués jusqu'à la fin du processus de livraison grâce à un système de suivi géolocalisé.
Pour le moment, cet exemple n'est pas réalisable. En effet, il n'existe pas d'interconnexion ni de standardisation au niveau technologie et légal permettant d'harmoniser ces tâches. Toutefois, Request vient apporter l'une des composantes de cette interaction, qui pourrait dans un futur se débloquer en fonction de l'évolution des technologies. Dans cet exemple, Request pourrait jouer le rôle d'intermédiaire entre le garage et le propriétaire du véhicule, de manière totalement transparente grâce à la blockchain.
Pour parvenir à un tel résultat, différentes couches composent le réseau Request. Nous allons les aborder une par une, de la plus immuable à la plus malléable.
La couche Core
La couche Core représente le cœur de Request. Elle regroupe les smart contracts « fondamentaux » qui permettent la création de différentes entités et demandes de paiements. Cette couche gère ainsi le consensus de Request et le mécanisme de facturation via des smart contracts.
Elle est d'ailleurs immuable, ce qui signifie que personne ne peut modifier les informations qu'elle contient. En outre, elle est totalement ouverte, ce qui permet aux utilisateurs de consulter les informations d'une manière transparente.
Cette couche est développée sur le réseau Ethereum, et est capable de détecter toutes les factures basées sur la norme des tokens ERC-20. Elle intègre également d'autres types de paiements via l'utilisation d'oracles de prix.
L'utilisation de cette couche est gratuite, afin d'encourager le plus grand nombre à l'utiliser. Les seuls coûts sont le gas requis pour les transactions via Ethereum et le stockage des informations.
Principe d'agrégation des actifs sur Request
La couche Extension
La couche Extension est la seconde strate de Request. Celle-ci permet de gérer des paiements plus complexes qu'une facture de base. Par exemple, une entreprise peut demander une facture nécessitant plusieurs calculs, tels que des paiements anticipés, des calculs de taxes ou des avances de salaires.
Toutes ces conditions prennent la forme d'extensions qui peuvent être ajoutées aux demandes de bases. Cette couche est la porte d'entrée vers des fonctionnalités nouvelles en lien avec les paiements. Par exemple, un utilisateur de Request pourrait décider de donner 1% de tous les paiements qu'elle reçoit à une ONG, ou de les déposer sur son propre compte retraite.
Particularité intéressante, la couche Extension est ouverte à tous et chacun est libre de créer ses propres extensions. Ainsi, cette couche est facturable, dans le sens où chaque extension prendra des frais lors de son utilisation qui seront partiellement brulés et transférés aux développeurs d'extensions.
Ces coûts engendrés par l'utilisation des extensions diminuent avec le temps pour demeurer concurrentiels. En moyenne, le coût d'utilisation de ces extensions est compris en 0,1 % et 0,5 % du montant total de la facture. Cette distribution des frais encourage les développeurs à développer des extensions pour l'écosystème de Request.
L'exemple d'une requête utilisant les extensions de Request
La couche Application
La dernière couche de l'écosystème Request est la couche d'applications. Elle se situe hors de la blockchain. Grâce à cette couche, des applications externes peuvent se connecter à Request pour créer des demandes de paiements. Ainsi, des processus de comptabilité, d'audits, de fiscalité ou encore de recouvrements peuvent tous être connectés et interagir avec Request pour effectuer des paiements.
Lorsqu'une application de paiement se connecte à Request, elle peut accéder aux factures de l'utilisateur et proposer de les régler instantanément. Pour ce faire, Request met à disposition des développeurs une interface de programmation (API) dédiée.
Exemples d'utilisation de Request
Request cherche à transformer l'ensemble du secteur des paiements en ligne par le biais de l'automatisation des tâches et de la facturation. Voici quelques-uns des cas d'utilisation de ce protocole.
Facturation
Chaque jour, des millions de factures transitent à travers le monde et certaines sont préparées manuellement, notamment dans celles qui impliquent des taxes ou des formes de paiement avancées. Des montagnes d'erreurs peuvent alors s'accumuler, entraînant des retards pour les paiements de ces factures et la perte d'un temps précieux pour l'entreprise.
Request permet une automatisation décentralisée de cette facturation, en offrant la possibilité aux entreprises de partager les factures directement sur la blockchain. Cela améliore grandement la transparence de la facturation et élimine les pertes potentielles dues à des doublons de factures et à des retards de paiement.
Comptabilité et audit
Avec Request, la comptabilité se fait en temps réel, en plus de permettre une réduction des coûts, cela permet une gestion meilleure et plus rapide de cette opération.
En effet, avec Request, les paiements, les remboursements ou encore le calcul de la TVA sur une facture sont effectués de manière entièrement automatisée. Les écritures comptables sont inscrites dans la blockchain sans possibilité d'antidatation ou de falsification.
Grâce à Request, il est ainsi possible de passer d'une comptabilité en partie double à une comptabilité en partie triple. Un troisième point de validation vient effectivement s'ajouter au système de partie double.
Lorsqu'on se penche sur les coûts exorbitants d'un audit financier pour une entreprise, les mécanismes proposés par Request jouent un rôle prépondérant pour réduire ces coûts, en plus d'accélérer l'exécution du processus. À titre d'exemple, Microsoft a payé plus de 45 millions de dollars au cabinet Deloitte pour réaliser un audit en 2014.
Enfin, Request permet la numérisation des systèmes comptables, lesquels sont actuellement réalisés par des documentations répétitives et de nombreux contrôles.
Ainsi, plutôt que de publier l'état de leurs comptes après l'audit annuel, les entreprises utilisant Request peuvent conserver leurs comptes dans une base de données décentralisée, mais qui restera confidentielle, seules les personnes agréées pourront consulter ces données. Cela agit comme une source de confiance auprès des investisseurs.
Paiement en ligne
Alors qu'un paiement par carte bancaire expose des informations sensibles, Request permet de protéger ces données. Par exemple, en réalisant une commande depuis un site Web intégrant Request, celui-ci envoie une demande de paiement sur le réseau, que le compte de l'utilisateur détecte avant de lui demander une confirmation du paiement. De cette manière, il devient possible d'éviter des débits non autorisés ou des services facturant des frais cachés.
Request affirme que ce service permet de réduire les coûts engendrés par des plateformes tierces comme PayPal ou Bitpay.
À quoi sert le token REQ ?
L'écosystème de Request est alimenté par sa propre cryptomonnaie, le REQ. Ce token utilitaire joue de nombreux rôles en assurant la performance et la stabilité du réseau Request. Voyons en détail toutes les utilisations possibles du REQ.
L'anti-spam et le mécanisme de « burn »
Lorsqu'une nouvelle demande de paiement est créée à l'aide de Request, une commission mineure en REQ est exigée avant sa diffusion sur le réseau. Ces frais découragent les utilisateurs d'utiliser le réseau de manière malveillante, afin de préserver le réseau des spams et de le rendre performant pour tous les utilisateurs.
Cette opération est accompagnée par un mécanisme déflationniste, réduisant le nombre de tokens REQ en circulation. En effet, les frais en REQ collectés par le réseau Request sont brulés de manière périodique, ce qui réduit la quantité totale de tokens REQ existants. Le code du smart contract dédié à cette opération est accessible publiquement ici.
Ce mécanisme de destruction de tokens REQ se révèle particulièrement efficace pour aligner l'adoption de la technologie et les intérêts des parties prenantes. Plus l'adoption augmente, plus la quantité de REQ disponible diminue.
La gouvernance
Le réseau Request étant un protocole décentralisé, l'équipe prévoit dans un futur proche la création d'une structure de gouvernance qui permettra aux utilisateurs de voter sur les décisions critiques pour le développement à long terme du projet. Dans cette structure de gouvernance, le token REQ sera représentatif du pouvoir de vote pour différentes propositions.
Le staking
Dès que l'équipe jugera que l'écosystème de Request est assez mature, le réseau implémentera un mécanisme de staking comme condition pour déployer et exploiter des nœuds. En verrouillant une quantité définie de tokens REQ, les utilisateurs qui le souhaitent pourront ainsi déployer un noeud et recevoir une récompense en retour de leur participation au bon fonctionnement de Request.
Des remises sur les produits de Request
Les détenteurs de tokens REQ bénéficieront de remises sur les futurs produits de Request, notamment des frais réduits à l'utilisation de ces derniers. Les remises accordées varieront selon les produits.
Logo de Request et du token REQ
Équipe et partenaires
L'équipe
L'equipe est francaise et est passée par le Y Combinator, un accélérateur de startup basé à San Francisco qui a accompagné les lancements de Coinbase, Stripe ou encore Airbnb, avant de lancer Request en 2017.
Selon le page LinkedIn de Request, l'équipe est composée de 13 personnes. Qui sont ses membres fondateurs ?
Directeur de la technologie et cofondateur de Request, Étienne Tatur est diplômé de l'INSA Lyon, une école d’ingénieur. En 2014, il a notamment cofondé Moneytis, une startup utilisant la blockchain pour faciliter le transfert de fonds à travers le monde. Après quelques années, la startup est rachetée par Wise (anciennement TransferWise), un géant du transfert de fonds à l'international.
Directeur financier et cofondateur de Request, Christophe Lassuyt a lui aussi cofondé la startup Moneytis. Il est diplômé d'un master 2 de l'école de commerce Neoma, à Rouen. Avant Request, il a travaillé en tant que directeur financier international chez le groupe international de conseil en management Mantu (anciennement Amaris).
Les partenaires
Request a noué de nombreux partenariats avec d'autres entreprises, qu'elle soit du monde de la blockchain ou non.
- xDai Stable Chain : une blockchain de paiement conçue pour des transactions rapides et peu coûteuses ;
- Near Protocol : une plateforme d'application décentralisée à scalabilité dynamique ;
- MakerDAO : une plateforme décentralisée à l'origine du stablecoin DAI. Aide Request dans sa mission à devenir le service parfait de gestion des flux des cryptomonnaies pour les différentes branches de la DAO ;
- Gnosis : une infrastructure open-source pour les marchés prédictifs construits sur Ethereum. Request et Gnosis forme un parfait couple de solutions pour la gestion des fonds d'une DAO ;
- Indacoin : un pionnier de la passerelle fiat-to-crypto avec un traitement des réseaux Visa et Mastercard ;
- Starname : un service basé sur Cosmos (ATOM) pour être payé en cryptomonnaies ;
Comment acheter du REQ ?
Le token REQ est disponible sur de nombreuses plateformes majeures, dont Binance, KuCoin, Bitfinex ou encore Huobi Global. Le REQ est également listé sur des exchanges décentralisés comme Uniswap et SushiSwap.
Binance disposant de la liquidité la plus importante pour les marchés du REQ, il est vivement recommandé d'utiliser cette plateforme pour acheter du REQ.
Découvrir le REQ sur Binance »
Explications pour l'achat de REQ sur Binance
- Inscrivez-vous sur Binance ;
- Vous allez recevoir un e-mail contenant un lien pour vérifier votre compte ;
- Déposez des fonds sur la plateforme ;
- Cliquez sur le menu Marché et recherchez la paire BTC/REQ ;
- Il ne vous reste plus qu'à acheter du REQ pour le montant de votre choix ;
- Félicitations ? Vous êtes maintenant en possession de tokens REQ !
? Pour des explications plus détaillées, consultez notre tutoriel de l'exchange Binance
Voici un aperçu de la position actuelle du REQ sur le marché des cryptomonnaies :
Comment stocker du REQ ?
Si vous souhaitez stocker vos REQ en dehors d'une plateforme centralisée, il est possible d'opter pour un hardware wallet, comme ceux proposés par Ledger et Trezor. En utilisant un portefeuille de ce type, qui se présente sous la forme d'une clé USB, vous pourrez ainsi stocker vos tokens directement chez vous dans un coffre-fort numérique.
Le REQ de Request est également pris en charge par Coinbase Custody, le service de garde du géant Coinbase.
Le token REQ étant sous la norme ERC-20 d'Ethereum, tous les portefeuilles numériques compatibles avec cette blockchain peuvent recevoir du REQ, comme MetaMask, Trust Wallet ou encore MyEtherWallet.
Ledger : la meilleure solution pour protéger vos cryptomonnaies 🔒Notes et avis sur Request et son token REQ
Avec pour ambition de redéfinir un pan entier du commerce et de l'échange de fonds, Request constitue bien plus qu'un simple système de paiement basé sur la blockchain. Contrairement à des plateformes centralisées, Request permet à des développeurs tiers de créer des applications et des services sur la base du protocole.
L'écosystème en constante évolution de Request lui offre de belles perspectives pour l'avenir, où de plus en plus d'entreprises et de particuliers se tournent vers des solutions utilisant la blockchain. En facilitant des processus aussi longs et coûteux comme la facturation et les audits financiers, Request prend la place d'une alternative de premier plan pour renouveler ce secteur.
En ce qui concerne le token REQ, celui-ci joue un rôle important pour assurer la stabilité du réseau Request. De plus, les utilisateurs qui participent à la décentralisation du réseau sont directement récompensés grâce au staking de leurs tokens. Par ailleurs, le mécanisme de destruction des tokens est également primordial pour que la rareté du REQ augmente sur le long terme.
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